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Pourquoi achater un bien immobilier

Bien souvent, j’ai des discussions animées avec mes amis au sujet de l’achat immobilier. Comme vous le savez, je suis dans la trentaine et c’est la question que l’on se pose à ce moment-là de nos vis, voire un peu plus tôt pour les plus prévoyants (soi-disant).

Entre raison et liberté

Le point d’orgue de mon argumentaire est relatif à la notion de liberté. Oui, je peux comprendre qu’il soit préférable d’acheter un bien afin d’en être propriétaire. Si possible, pas trop tard (en étant pas trop vieux en fait). Toutefois, cet investissement d’une « vie » va vous demander de régler un montant délimité pendant 20 ans, 25 ans, voire plus pour les moins bien lotis. Pour bon nombre, devenir propriétaire est un objectif, une fin en soi.

Pour moi, pas du tout !

Je tiens trop à ma liberté pour faire comme tout le monde et subir un emprunt qui va influé (qu’on le veuille ou non) dans toutes mes décisions (familiale, professionnelle). En effet, on me dira toujours qu’il est possible de revendre le bien immobilier afin d’en acheter un autre et ainsi rester « libre ». Franchement, ce type d’opérations est plus facile à dire qu’à faire, d’autant qu’on ne puisse pas dire que le marché soit porteur et dynamique actuellement.

Taux d’intérêt et Carpe Diem

Que l’on soit célibataire, en couple ou avec des enfants, la situation ne change guère à mon sens. Face à un taux d’intérêt à 3 % en moyenne (plus votre « dossier » est favorable, plus le taux est bas) et des centaines de mensualités, je préfère vivre sans être attaché tout en sécurisant mes arrières en mettant de côté tous les mois. L’objectif n’est évidemment pas de tout dépenser sans en garder pour la « soif ».

Il existe bien d’autres moyens de capitaliser et donc d’épargner. Il est possible d’accumuler la même valeur relative à un bien immobilier grâce à des valeurs boursières, des SICAV ou encore du ForEx. Pour ma part, j’ai choisi mon camp…