Il y a quelques jours, je suis allé voir le film Interstellar avec un ami en plein centre de Paris. Je n’étais pas spécialement emballé car je m’attendais à un film trop fantastique, et pourtant, j’adore le réalisateur Christopher Nolan.

Au final, je ne me suis toujours pas remis de ce film IN-CRO-YA-BLE !

Posons le décor du film de l’année

Vous avez pu vous en rendre compte, je rédige souvent mon avis sur des séries comme House of Cards ou la dernière pépite US, à savoir The Affair. Mais voilà, je suis avant tout un amoureux du 7ème art. Concernant Interstellar, il s’agit d’un ancien pilote de la NASA qui s’est spécialisé avec sa famille dans la culture de maïs. Il reste un passionné car il traque les drones avec sa petite fille, car le film se déroule vers 2050.

C’est alors qu’il découvre une base secrète de la NASA où il revoir de vieilles têtes. C’est alors qu’il découvre une mission spéciale qui a pour objectif de partir vers une nouvelle galaxie pour la coloniser et ainsi trouver une porte de sortie à une population humaine qui commence à mourir de faim car elle n’a pas pris soin de conserver sa terre intacte (effet de serre, pollution, OGM,…).

Le message général du film (sans spoiler)

Sans vous dévoiler les contours de ce film de 2 heures de 48 minutes où Matthew McConaughey est impérial, je vais vous dire ce qui m’a profondément touché. Ce n’est ni les vaisseaux spatiaux, ni la possibilité de coloniser une planète se trouvant à 3 ans de vol.

C’est bien le lien entre la petite fille et son père qui montre que l’humanité sera sauvée par l’humanité. Cela peut paraitre bateau, mais ce message est très bien filmé par le réalisateur. Aussi, les distorsions de temps et l’idée d’une 5ème dimension portent à questionnement.

Enfin, si vous avez aimé Inception, vous allez adorer ce film. En effet, l’émotion arrive à être présente malgré des trésors d’ingéniosité au sens propre du terme (voyage inter spatial). La trame est semblable car il y a de l’amour, un objet qui relie les acteurs (la toupie dans Inception) et une idée de ce qu’il y a au-delà de la 3ème dimension.

Bref, foncez au sein de votre cinéma pour voir le chef d’œuvre de la décennie, ni plus, ni moins.