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Que penser des centres dentaires low cost ?

Crise oblige, la santé est le foyer de dépenses le plus touché. Les Français n’hésitent pas à raboter sur ces dépenses afin de ne pas se retrouver dans le rouge. A ce titre, les cliniques low cost se développent à la vitesse Grand V, mais que penser des centres dentaires pas chers ?

Les dents, c’est tellement important

Clairement, pour moi, les dents sont très importantes. Si elles sont en mauvaise santé, soit on a (très) mal, soit on est limité quant à ses actions (éviter de manger certains plats par exemple). De plus, compte tenu du fait que la crise a rogné le pouvoir d’achat des Français, certains n’ont pas hésité à proposer de la santé low cost, notamment dans le cadre des dents.

Par exemple, Pascal Steichen est à la tête d’une entreprise nommée Dentexia qui propose des soins dentaires à des tarifs très raisonnables. Cette entité dispose de plusieurs centres en France, notamment à Paris, Colombes, Lyon ou encore Lille. Le succès est au rendez-vous car les soins prodigués sont de qualité.

Les tarifs proposés par ces centres dentaires low cost

Par exemple, afin de bien se rendre compte des tarifs pratiqués. Sachez que la pose d’une couronne coûte moins de 400 euros alors que chez un dentiste « normal », il vous en coûtera entre 500 et 900 euros. L’économie peut donc permettre dans le meilleur des cas de diviser la note par 2, ce qui n’est pas négligeable par les temps (économiques) qui courent.

Idem, un implant sera facturé 480 euros au lieu du millier d’euros habituellement demandés par un dentiste qui a pignon sur rue. Grâce à ce procédé, il est possible d’imaginer un monde où plus personne ne refuse de se faire soigner pour des raisons financières. Nous ne sommes tout de même pas aux Etats-Unis où à défaut d’avoir une bonne couverture, il est nécessaire de payer avant de se faire soigner…

Attendons toutefois d’avoir plus de recul afin de s’assurer que ces soins dentaires low cost aient bonne presse. Nous ne sommes pas à l’abri de certaines surprises qui justifieraient le « rabotage » des coûts avant de celui des dents…