C’est l’un de mes sujets favoris en ce moment, à savoir les Hipsters. Etre génie et débilité, ils jouent sur le fil du rasoir à la recherche d’une forme d’identité, voire de supériorité présumée.

Découvrez mon avis sur ce phénomène qui ne date pas d’aujourd’hui.

Un mouvement voué à mourir

Les Hipsters représentent un mouvement qui existe uniquement dans les grandes villes et autres mégapoles. Ils sont branchés pour les uns et déconnectés pour les autres (#Joke). En tout cas, ils en laissent personne indifférent, c’est déjà ça. En préambule, vous aurez compris mon avis général sur ces génies de la schizophrénie. Ils veulent absolument être à la pointe de tout, mais s’oublient, tout simplement.

Eviter tout ce qui plait à la Masse

Le concept d’un Hipster est très simple. En effet, son objectif est de ne surtout pas dire, faire ou penser comme la masse. Ils considèrent cette classe moyenne comme des beaufs sans goût, ni odeur, un exemple de tolérance en somme !

Peut-être qu’ils oublient que l’essence du mouvement des Hipsters est né dans les années 40 lorsque des fans de Jazz voulaient vivre et se vêtir comme leurs idoles. A ce titre, le côté Hype est raté puisqu’il s’agit de copier ceux qui sont adulés, comme la masse envers certains artistes et autres footballeurs (comble du beauf selon eux…). D’ailleurs, ils aiment bien les baskets.

A contre-courant au maximum

Bref, ils souhaitent être à contre-courant et parfaitement singuliers pour montrer leur différence, que dis-je, pour montrer à la face du monde leur supériorité. Un grave problème psychologique semble animer ces personnes qui furent pour bon nombre des Bobos patentés il y a quelques années.

En règle générale, pour être un Hipster qui se respecte, il faut avoir entre 20 et 40 ans, être mince sans que le sport ne soit une religion (trop mainstream). Aussi, ils mangent peu et lorsqu’ils le font ne consomment que des produits respectueux de l’environnement et du tiers-monde. La moustache est un plus, un peu comme la casquette Cochonou est l’accessoire clé d’un amateur de cyclisme au bord de la route (sic). Bref, les Hipsters ne font pas tourner le monde…