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Ma trousse de secours avant de partir en vacances

Loin d’être un hypochondriaque maladif, je préfère préparer de la meilleure façon possible mes vacances, surtout lorsque je me rends dans des pays plutôt exotiques. A ce titre, la fameuse trousse à pharmacie que notre maman préparait a son importance, sauf qu’à présent, c’est à moi, jeune adulte de mon état, de la faire.

Voici mes quelques astuces pour partir l’esprit libre.

Pensez à tous les scénarios

Sans être catastrophiste, je préfère penser à tout ce qui peut se dérouler au fin fond de l’Océanie ou au sein d’une forêt tropicale sud-américaine. Sans penser à une amputation en pleine jungle, quelques petits tracas peuvent être évités grâce aux 200 grammes d’une trousse de premiers secours bien remplie.

En premier lieu, j’emporte un maximum de paracétamol, l’intérêt est que ce médicament peut presque tout soulager lorsqu’il y a de la fièvre ou une douleur. Aussi, même si tout dépend de sa destination, il faut absolument prendre des médicaments pour éviter les diarrhées.

Que l’on parte seul ou en couple, ces petits moments peuvent rapidement devenir gênants et personne n’est à l’abri, et certainement pas moi (je ne vous raconterai pas mon voyage en Bolivie…). Il suffit de manger un fruit mal lavé ou de boire un verre avec des glaçons composés de l’eau « locale » pour que votre flore intestinale vous joue des tours.

Combattez le mal des transports

Les charmes d’un voyage, à mon sens, est que l’on ne sait jamais vraiment comment il va se dérouler. La base d’un séjour est de se déplacer par tous les moyens possibles, à savoir le tuk-tuk en Thaïlande, le bateau dans les Antilles ou encore le ferry en Europe du Nord. Si vous êtes assujetti, ce qui n’est pas mon cas (ouf), au mal des transports, n’oubliez pas votre antiémétique.

Idem, pour les zones tropicales, je recommande (3ème degré) d’éviter le paludisme dont les crises éparses peuvent juste vous tuer. A ce titre, la Malarone est indispensable même si ce médicament coûte cher. Petite astuce, bien souvent, les locaux mangent de l’ail pour éloigner les moustiques porteurs du paludisme.

Enfin, si vous partez avec un bébé ou un enfant, certains médicaments sont des musts comme le collyre pour les yeux, une pince à épiler ou encore des sachets qui pourront stériliser l’eau en toutes circonstances.

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