En ce moment, et finalement depuis quelques semaines, le nouveau gouvernement Valls s’agite dans tous les sens, mais rien de fou-fou semble pointer le bout de son nez. En tout cas, les communicants de l’Elysée ont tout compris pour manipuler les foules, à savoir utiliser deux mots magiques : Pouvoir d’Achat.
O mon pouvoir d’achat, O miséricorde
Clairement, les Français dont moi, attendions beaucoup du nouveau gouvernement et de l’énergie insuffler par le Premier Ministre, Manuel Valls. Les ambitions étaient bonnes, mes discours étaient calibrés, mais qu’en est-il à ce jour ?
Concrètement…rien !
Le chômage est encore en hausse, le déficit se creuse et le pouvoir d’achat est en berne (les moins de 30 ans pourraient penser qu’il n’en a jamais été autrement….). Pour rappel, le pouvoir d’achat permet de savoir quelle somme il faut dépenser pour acheter un produit par exemple.
Au fil des années, il n’a cessé de s’éroder. Même avec les efforts concernant les ménages les plus modestes (plusieurs centaines de milliers de ménages sortent de l’impôt sur le revenu) et une hausse de certaines pensions, rien à l’horizon. Pour moi, il s’agit d’un pansement sur une jambe de bois, ni plus, ni moins.
S’attaque-t-on aux véritables problèmes ?
Les mesures proposées sont bien trop symboliques et ne traitent pas du sujet de fond. Selon moi, les problèmes sociaux sont trop nombreux et les contraintes législatives trop lourdes. Il faut laisser les entrepreneurs créés des emplois où les charges seront quasi-nulles et développer le temps partiel. Les Allemands agissent de la sorte et ils disposent de l’économie la plus florissante de la zone Euro.
De plus, la valeur travail a considérablement perdu de son sens et les gens ne travaillent que pour survivre. Selon moi, je préfère un pays où tout le monde a un emploi, plutôt qu’il n’y ait 3 millions de chômeurs qui se lèvent tous les matins sans aucun but et donc aucun projet…