Toujours intrépide, mais pas forcément d’un courage immense, j’ai testé le wakeboard il y a peu. Il y a plusieurs façons de pratiquer ce sport estival de glisse et mon expérience a été mitigée.

Voici le bilan de ce que j’ai aimé et moins…aimé.

La France est une terre de wakeboard

Clairement, en réalisant quelques recherches, je me suis aperçu que la France était le pays où il y avait le plus de centres pour pratiquer le wakeboard dans le monde, oui, oui, dans le monde. En effet, en l’espace d’une courte décennie, les Français se sont amourachés pour ce sport de glisse venue d’Océanie (Nouvelle-Zélande apparemment).

De ce que j’ai compris, il y a 3 façons de pratiquer le wakeboard. Le principe est toutefois toujours le même, il s’agit d’une corde tractée, soit par un bateau, soit par un câble, soit par un jet-ski. L’idée générale est de prendre de la vitesse pour surfer et réaliser quelques acrobaties. Concrètement, mon expérience a été intéressante mais je trouve que, comme pour le snowboard, il faut au moins 2 à 3 jours de pratique pour réussir à tenir debout quelques secondes. Les gamelles s’enchainent au début et il faut faire preuve de ténacité sinon vous abandonneriez rapidement.

Cela a l’air simple, mais…

Je vous conseille de faire un peu de musculation avant, notamment concernant les bras et les cuisses (quadriceps). En effet, pour tenir debout, il faut avant tout être solide, sans oublier le gainage qui vous permettra de coordonner le haut et le bas du corps. Mon expérience a été réussie dans l’ensemble, mais il faut arriver en pleine forme, ce qui n’était pas mon cas (fatigue accumulée, manque de sommeil).

En France, rien de plus simple pour surfer sur cette planche de 130 centimètres environ. En effet, il y a près de 200 centres au sein de l’hexagone, ce qui tranche avec d’autres pays où les amateurs sont censés être nombreux (Allemagne, USA, etc…). Notons qu’il y a beaucoup de centres dans le Sud (PACA notamment) et autour de Paris (tracté par un câble). Pour ma part, j’ai payé 28 euros de l’heure en région parisienne, le rapport qualité-prix reste honnête, mais il faut en faire au moins 10 fois avant de « kiffer »…